AFRIQUE FEDERALE ACTU

Honte, Trahison ou combat de survie

Pour tous les observateurs Africains, l’année 2012 était  le signe qui a marqué le lever du voile sur les pratiques déshumanisantes des dirigeants Africains et leurs sbires. Ces hommes politiques, condamnés par leurs actions criminelles à s’éterniser au pouvoir, sont obligés d’une certaine manière à instaurer  une insécurité multidimensionnelle. Dès lors, les départs massifs des jeunes et des familles, empruntant des embarcations par instinct de survie, en bravant la mort pour échapper à l’enfer se comprennent aisément.

C’était donc prévisible que les événements, lors des jeux Olympiques de l’été dernier à Londres laisseront une tâche indélébile sur le tapis de l’histoire. Même si l’on ne saurait se réjouir d’une rupture violente d’avec sa patrie, force est de constater que cette appréhension était largement partagée, face à l’aveuglement d’une classe dirigeante Africaine, incapable de se remettre en cause, et qui a volontairement tourné le dos aux aspirations des peuples et à la satisfaction de ses besoins élémentaires.

C’est pourquoi, lors de ces jeux, bon nombre d’athlètes d’Afrique avaient décidé de ne plus retourner en enfer pour des raisons connues de tous. Parmi les nationalités qui firent la Une de l’actualité, on notait entre autre, les camerounais, ivoiriens, érythréens, guinéens, congolais…

Selon des sources dignes de foi, la pluparts de ces rescapés des dirigeants Africains ont demandé l’asile politique en Angleterre pour leur propre sécurité. On sait que plusieurs ont fait l’objet de menaces multiformes par les Fédérations sportives de leur pays respectif, mais aussi de la part des autorités de ces pays, qui voient dans ces défections comme une trahison d’Etat.

A titre d’illustration, selon une autre source cette fois ci, parmi les athlètes guinéens qui firent défection, figurent Dédé Camara, la nageuse, Aïssata Touré l’antilope à cause de sa profession, la course, le Judoka, Facinet Keïta, de même que Mamadou Athigou. Sauf que ce dernier avait mis cap sur le Kenya.

La même source nous a indiqué que les autorités Guinéennes considèrent l’acte des athlètes comme une honte à la nation et qualifient ses auteurs de traitres. Sans risque de se tromper, nous pouvons dire, les yeux fermés que les personnes dont les noms sont cités risquent l’emprisonnement à coup sur, s’ils réembarquent en Afrique, avant que l’Union Européenne ou l’ONU ne contraignent les dirigeants Africains à revoir leurs politiques intérieures.

D’ailleurs nous apprenons par le même source que le frère du Judoka guinéen, de même que sa mère, Hadja Nanténin furent agressés et forcés de dire la position exacte de Facinet Keïta. Les agresseurs furent reconnus comme membre de la police locale, à travers leurs uniformes, malgré que ceux-ci portent des cagoules.

Aux dernières nouvelles, pour avoir une tranquillité, la mère de notre sportif, ainsi que le frère, qui eut un coup de poignard à la cuisse, se trouvent actuellement en campagne, dans un village à quelques centaines de kilomètres de la capitale.

Voilà bien une histoire qui malheureusement est ordinaire dans les pays d’Afrique noire.

L’Affaire des naufragés qui a terni l’image de tous les dirigeants du monde, n’est que le lot quotidien de plusieurs familles et jeunes Africains qui disparaissent sur les mers dans l’anonymat le plus total. Alors, il est plus convenable pour nos athlètes d’évoluer sous d’autres cieux, car même ceux qui sont actuellement sur le continent, tentent l’évasion sans retour.

W Bufalka

Sorties des dunes et des montagnes du mythique Sahara, les hordes barbares des indépendantistes traversèrent le Telemsi avec l’odeur de la mort qui leur collait à la peau, portant dans le cœur l’aigreur des vaincues.

Ces vaincues qui n’étaient personne d’autre que le Mali à travers son Armée et son Administration.

Nourries par la haine du Malien et bercées par le crime légendaire d’hommes au service d’Etats voyous, que sont la plus part des pays du Maghreb vis-à-vis des régions soudano-sahéliennes, le MNLA semait la terreur et la désolation à travers campagnes et villes jusqu’à l’occupation des capitales régionales des zones septentrionales du Mali.

Mais à la surprise générale du monde entier et des populations Maliennes en particulier, les cohortes barbares n’étaient pas aussi homogènes qu’elles le prétendaient.

Outre les combattants du MNLA, les villes avaient découvert d’autres guérilleros dont les barbes et les pantalons sautés brillaient de mille feux sous l’éclat de la colère.

Une colère entretenue par les doctrines des psychopathes, à l’image de ceux là même qui pillèrent le soudan occidental sous l’illuminisme de bergers subitement devenus mystiques et pro-Djihad d’un Islamisme made in Saoudia Arabia, juste à l’aube de la colonisation Européenne en Afrique.

Un Djihad contre des sociétés musulmanes et en faveur des colonisateurs.

Le monde entier assista alors à une peinture grossière que représentaient ces cohortes. Ansardine et AQMI faisaient figure de félins chasseurs, suivis par les troupeaux de charognards : le MNLA.

Dès le lendemain de l’occupation des villes de Gao-Sanèye et de Timbuctu-Sankoïra, des voix se faisaient de plus en plus perceptibles.

Parmi celles-ci, les voix de la jeunesse des villes des régions du nord du Mali.

Voyez-vous, Kidal qui fut jadis une ville cosmopolite où, toutes les communautés se brassaient est depuis, devenue le fief de la terreur, de la brutalité, des attentats…

Ceux qui refusent de se laisser enrôler pour devenir islamistes ou kamikazes sont traqués et seul Dieu sait le sort que ces drogués de rebelles réservent aux jeunes téméraires qui, dès lors ont préféré prendre le chemin des aller sans retour.

D’ailleurs ce qui est surprenant, lorsque ces groupes armés jettent leur dévolu sur un jeune qui échappe à leurs filets, commence alors pour leurs familles le calvaire.

Dans les régions du nord du Mali, les conditions sont telles qu’aux brimades et face à la violence que des rebelles Touaregs font subir aux populations, la situation du pays n’est guère reluisante et rassurante, malgré la présence des troupes françaises et africaines. Chaque semaine qui passe, des obus ou des voitures piégées sautent en pleine ville avec leurs lots de morts, de blessés et de terrorisés.

Les victimes sont nombreuses depuis cette guerre. Certaines, à cause de leurs professions, d’autres pour leurs opinions. Entre autre, Adama Guindo dit « Petit Dogon » et Fatou Diallo, tous deux propriétaires de lieux de récréation et de vente de bière à Gao, de même que Youssouf Keïta, qui lui était tenancier de Bar à Kidal ville ; le jeune Saré Koura Kibsy, partit par les chemins d'exils à la recherche d'un environnement de paix, qui fut un sculpteur dont le talent était reconnu au-delà des limites nationales, les filles violées, les voleurs amputés de la main droite, des lapidations, la liste est longue.

Pour ce qui est de Youssouf Keïta, après avoir mis son commerce sans dessus-dessous, il fut traqué par les hordes du MNLA pour la simple raison que ces derniers le considèrent comme un espion aux services de forces étrangères. Sa maison fut brulée, ses biens emportés…

Cet homme, Youssouf Keïta, accompagné de sa famille, prirent la fuite. Aux dernières nouvelles, personne ne sait ce qu’est devenue cette famille.

Il serait sage pour toutes ces personnes de chercher à recommencer une nouvelle vie, sous d’autres cieux, car l’environnement africain n’est plus fiable, encore moins sécurisant pour des familles et des individus qui ont eu le courage de tenir tête aux islamistes et rebelles qui font légions en Afrique.

Garougando

Etat des Droits de l’Homme sous le Grand Règne de Sanogo&Co, MNLA-Jihadistes&Co.

Alors l’ « Homme du Mali d’abord » que feriez-vous pour nous ?

Publié pour la première fois le 11/11/2011 + 1 à 11 h 06, par le Journal AFRIQUE FEDERALE sur le net.

Point de départ : le 22 mars 2012 au Mali. Date à laquelle, le Grand Généralissime ATT et ses paires ont détalé du pouvoir comme s’ils n’étaient pas ceux là même qui ont permis l’instauration du multipartisme dans le pays, il y’a quelques quinquennats. Et depuis, les Droits Humains ont encaissé le coup qui les étala K-O sur le tapis.

En fuyant du pouvoir, les anciens « sapins de noël », les Généraux, dont les torses brillaient de mille feux sous l’action des projecteurs, laissèrent la République à des jeunes officiers, auteurs du coup d’Etat du 22 mars 2012. Malgré leur inexpérience, ces putschistes ont réussi un pari : mener une transition et l’organisation d’élection à partir de laquelle le peuple semble être satisfait.

Néanmoins, les jeunes officiers sont loin d’être des révolutionnaires, car, devenus à leur tour des « sapins de noël » qui brillent eux aussi de mille feux, bien que la fête de noël ne dure qu’un soir.

Alors, depuis le coup d’Etat, qui fut jugé d’inopportun, les droits fondamentaux du citoyen ont été ignorés, voire violés. La sécurisation des populations a été oubliée, la défense de la veuve et de l'orphelin occultée, la protection des droits de la personne ignorée. A tout ceci, s’ajoute les intimidations, les enlèvements, les détentions injustifiées. Le comble : la désinformation savamment agencée et entretenue.

Ces faits devenus le sport quotidien des nouveaux gardiens de notre sécurité, ont simplement poussé ces derniers à abandonner les deux-tiers du pays entre les mains de rebelles charognards et de Djihadistes barbares, avides de sang humain.

Le peuple malien qui a tant souffert avant et après ce putsch aura vite déchanté, et a vu son maigre espoir de redressement de la démocratie partir en fumée.

Après un début tonitruant fait de grandes promesses et habile verbiage, l'ex junte, était devenu le " Comité de suivi et de réforme de l'armée ", avant d’être à son tour dissout, n'a mis que quelques jours pour montrer son vrai visage et dévoiler ses réelles intentions.

A titre d'exemples, après les arrestations de personnalités politiques maliennes par les putschistes, le monde entier avait assisté à l'arrestation du jeune Mahamadou Diouara du BBH (Mouvement d’autodéfense Buyan Ba Hawy). A la tentative d’enlèvement de Madame Maïga Sina Damba, n’eut été sa résistance et celle de ses collaborateurs. Le chanteur Magic Sapeur, qui avait opté pour l’exil afin de sauver sa peau. Le combat fratricide des bérets, le pillage de la Gare de SONEF par un gang masqué, la liste est fastidieuse.

Après des investigations dument menées, il est une obligation de porter à la connaissance de l'opinion publique nationale et internationale qu'en dépit de toutes les affaires précitées, et malgré l'enrichissement illicite des hommes venus pour le redressement de la démocratie, une corruption qui était déjà galopante au sein de l'administration malienne se voit consolider. Et la transition que certains citoyens qualifient de calamiteuse n’y fait pas l’exception.

Les jeunes patriotes qui ont eu le courage de se prononcer en faveur du Mali et contre les arrivistes en camouflet, font l’objet d’intimidation et de menaces. Certains dans l'anonymat et d'autres plus connus se sont fait des sueurs froides en voulant s'attaquer à ces propagandistes venus d’un autre âge. Stalinien peut-être ! Comprenons bien par là, que l'attaque dont nous parlons n'est que verbale, ce qui est complètement disproportionné quand à l'attaque dont ces jeunes font face : celle des armes.

Plusieurs jeunes leaders dont Bokary Daou, directeur de publication du Journal le Républicain, ou l’Honorable Oumar Mariko, député à l’Assemblée Nationale du Mali. Ce dernier, malgré qu’il ait l’immunité parlementaire, cela ne l’avait pas protégé d’enlèvement par des hommes en cagoule. Comme ceux là, qui ont saccagé la compagnie de transport Sonef, en pillant celle-ci avant de disparaitre dans la nature avec deux coffres forts de plus de 500 kg à vide.

D’ailleurs, les chaines internationales françaises se sont battues en informant l’opinion internationale des exactions dont font l’objet les personnes ou sociétés non désirées depuis le coup d’Etat de Sanogo.

Pire, pour la première fois dans l’histoire, on a assisté à la bastonnade d’un Président de République en plein exercice.

Cependant, il n’y avait pas que les individualités qui se sont insurgées contre les violations de ces droits fondamentaux de l’Homme, nous avons remarqué aussi que certaines Organisations de défense des droits humains ont brillé par leurs combats face aux exactions diverses. Parmi celles-ci, TEMEDT.

En effet, TEMEDT, cette association Malienne de lutte contre l’esclavage au Mali a particulièrement attiré l’attention des observateurs. Car, elle a non seulement croisé le fer contre les violations des droits au sud du Mali ; mais, TEMEDT avait et continu de combattre l’esclavage rampante qui aliène les masses populaires sous la couverture de la religion révélée dans le pays par le biais de commerçants berbères devenu depuis arabes.

Mais que l’arbre ne cache pas la forêt.

Dans les régions du nord du Mali, les conditions étaient telles qu’au sud du pays. Aux brimades et face à la violence que des rebelles Touaregs font subir aux populations, la situation du pays n’était guère reluisante. Finalement, des barbus prirent le contrôle et s’adonnèrent à l’application de la charia plate sur des populations qui n’arrivent toujours pas avoir un repas décent par jour à cause de l’enrichissement illicite des hommes politiques et militaires dans un pays où tout le monde est issu de la paysannerie de type moyenâgeux. Là aussi, les victimes sont nombreuses. Certaines, à cause de leurs professions, d’autres pour leurs opinions. Entre autre, Adama Guindo dit « Petit Dogon », Fatou Diallo, tous deux propriétaires de lieux de récréation ; le jeune Saré Koura Kibsy, partit par les chemins d'exils à la recherche d'un environnement de paix, qui fut un sculpteur dont le talent était reconnu au-delà des limites nationales, les filles violées, les voleurs amputés de la main droite, des lapidations, la liste est longue.

Pour ce qui est de la période des nouveaux Généraux, les choses vont bien, depuis un certain temps. La page est même tournée car un Président élu s’apprête à faire son entrée dans l’histoire avec faste, à l’image d’un autre, celui là même qui se voulait le GRAND EMPEREUR BOKASSA Ier, hi ! hi ! D’ailleurs, IBK eut l’occasion d’être salué par la bastonnade infligée à l’Honorable Gassama par une autre version de l’islamisme qui ne dit pas son nom. N’est-ce pas que la réplique à une injure est une injure, ou tout simplement le pardon quand on veut s’approcher de la Divinité Absolue ?

C’est pourquoi, concernant les islamistes, rien n’est sûr. On sait que ces fous travaillent en réseaux et, ils n’oublient jamais leurs objectifs. Leurs promesses de représailles contre les personnes et les Etats de l’Afrique, voire de l’Europe sont à prendre au sérieux. Alors vigilance !!!!

L’Afrique pourra-t-elle un jour mettre fin à la nuisance de ces impostures manifestes et, marcher fièrement vers le Progrès humain comme toutes les Nations du monde qui gagnent de nos jours ?

W Bufalka

L'Ambassadeur du Royaume de l'Union Mondiale en Arabie Saouidite et les Pays du Golf.

Les Consuls ne peuvent agir que sous son autorisation.

Dans le monde plusieurs monnaies existent. Mais, celle qui a une côte internationale est bien le Dollar.

Cependant, plusieurs dollars sont en cours dans le monde.

Le dollar du Royaume de l'Union Mondiale,

Le dollar US,

Le dollar Canadien,

Le dollar Libérien...

Pour ce qui nous concerne, le DRUM, dollar du Royaume de l'Union Mondiale est sans doute le plus côté en parité et en valeur. Sa garentie est de 10.000 tonnes d'Or 24 carats.

BF

Le titre légal de la mine d'or de Sa Majesté Bouyagui Keïta.

La princesse Koumba Keïta, une des héritières du Monarque du RUM.

Le prince Minkaïlou Keïta, un des héritier de la Couronne du Royaume de l'Union Mondiale.

La Reine Minti est la première épouse de Sa Majesté Bouyagui KEITA, roi du royaume de l'union mondiale